Le temps c'est de l'argent en or !

Hé oui par les temps qui courent si nous parlions temps de temps en temps ???

Toujours le grand bleu sur la Breiz c'est affolant ! Nous perdons notre identité Le Sud se mouille et nous dans le Phare Ouest on est presque à sec !
Je va devoir abandonner l'eau ferrugineuse pour le Génépi, moa, si ça continu
En plus si le Forum devient désert où trouvera-je quelques fleurettes pour enjoliver la retraite ?
Bien sur il y a les JT les les les les les et les mais celles du chaud bize me refroidissent
Alors n'hésitez pas à vous y mette un poil ( Nan nan pas besoin de vous dévoiler ! juste poster ! )

A vos marques ...... prèt ? ...... partez...... et que ça !

A propos de temps: même dans les Alpes, la sécheresse pointe son nez! J'ai voulu planter quelques vivaces dans la rocaille à côté du chalet... impossible! J'ai dû mouiller la terre à plusieurs fois avant de pouvoir creuser un trou pour y installer des plantes.
Même en randonnant autour de Hauteluce, les torrents sont au plus bas, et ce, après la fonte des neiges (pour être juste, faudrait dire après la fonte de la neige des canons...).

La pluie arrive...après on pourra se plaindre qu'on voudrait bien un peu de soleil, qu'il y en a marre de ce mois de mai pourri

defjam a écrit:La pluie arrive...après on pourra se plaindre qu'on voudrait bien un peu de soleil, qu'il y en a marre de ce mois de mai pourri

Ha ouais mais on pourra chanter ===>

Plainte Oh ma plainte
Ho Oh mon immense plainte !
Je voulais de l'eau !
Mais maintenant
Il y en a trop Hooo
J'voudrai du soleil
Mais pas trop chaud Hooo

Plainte Oh ma plainte ......... ( heu pour l'air, j'espère que vous le trouverez Mais il ne date pas d'aujourd'hui, c'est d'avant que la Place Rouge soit blanche ! Comme chantais Bécaud en parlant de Nathalie )

Aller pour vous aider je vous fais gratos un copié collé de la version originale ( c'était du Armand Mistral .... heu non pardon ===> Mestral

Plaine, ma plaine,
Plaine, ô mon immense plaine
Où traîne encore le cri des loups,
Grande steppe blanche de chez nous.

Plaine, ma plaine,
Dans l'immensité de neige,
Entends-tu le pas des chevaux
Entends-tu le bruit de ces galops

Plaine, ma plaine,
Entends-tu ces voix lointaines
Les cavaliers qui vers les champs reviennent
Sous le ciel chevauchant en chantant

Vent de ma plaine,
Va-t-en dire aux autres plaines,
Que le soleil et les étés reviennent
Pour tous ceux qui savent espérer

Plaine, ma plaine,
Sous l'épais manteau de neige
La terre enferme dans sa main la graine
Qui fait la récolte de demain

Plaine, ma plaine,
Vent de la plaine
Tu peux gémir avec les loups
L'espoir est à nous plus fort que tout !